Les hommes armés qui ont pris en otages les dix membres d'équipage, dont sept Français, d'un bateau du groupe Bourbon au large des côtes camerounaises, dans la nuit de jeudi à vendredi, ne menacent plus de les tuer, mais ils assurent qu'ils les retiendront prisonniers jusqu'à ce que le gouvernement camerounais entame des pourparlers avec eux.Le chef des ravisseurs, Ebi Dari, a aussi confié à l'Associated Press par téléphone, samedi, que les otages étaient "en bonne santé".
Lire l'article intégral sur site web Europe1: www.europe1.fr/.
Le chef des Bakassi Freedom Fighters, le groupe rebelle nigérian qui a pris en otage vendredi au large du Cameroun 10 membres d’équipage d’un bateau dont six Français travaillant dans le secteur du pétrole pour Total, a assuré samedi qu’il avait "changé d'avis" et "n'allait plus les tuer". Ce qu’il menaçait de faire à partir de lundi sir des négociations n’étaient pas ouvertes autour de la région du Bakassi avec le gouvernement du Cameroun. Reste que sur place la situation est très confuse, les rebelles semblant divisés entre eux. Invité d'Europe 1 vendredi soir, Bernard Kouchner a lui assuré que l'affaire était prise au sérieux mais qu'aucun contact officiel n'avait été établi avec ces rebelles.
Lire l'article intégral sur site web Europe1: www.europe1.fr/.