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23 septembre 2008 2 23 /09 /septembre /2008 23:54
Elections sénatoriales du dimanche 21 septembre, suite.

PARIS, 23 septembre 2008 (AFP) - Le président du PRG, Jean-Michel Baylet, sénateur du Tarn-et-Garonne, travaille à la création d'un groupe autonome au Sénat composé de sénateurs radicaux de gauche et apparentés, a-t-on appris mardi de source proche des sénateurs PRG.

Dans une telle configuration, l'actuel groupe Rassemblement démocratique et social européen (RDSE, qui regroupe les sénateurs PRG et radicaux de droite valoisiens) disparaîtrait donc, a-t-on précisé.

Le seuil de constitution d'un groupe parlementaire au Sénat est de 15 sénateurs.

Pour l'heure, M. Baylet peut compter sur au moins 10 sénateurs: lui-même, Nicolas Alfonsi (Corse-du-Sud), André Boyer (Lot), Yvon Collin (Tarn-et-Garonne), François Fortassin (Hautes-Pyrénées), François Vendasi (Haute-Corse) ainsi que les nouveaux élus Anne-Marie Escoffier (Aveyron), Jacques Mézard (Cantal), Françoise Laborde (Haute-Garonne) et Raymond Vall (Gers).

Devraient également, selon cette source, rejoindre le nouveau groupe Daniel Marsin (DVG, Guadeloupe) et l'ancien ministre socialiste Michel Charasse, déjà apparentés au groupe RDSE dans la précédente chambre, ainsi que les deux nouveaux élus DVG de Guyane, Jean-Etienne Antoinette (proche de Christiane Taubira) et Georges Patient, ainsi que les socialistes dissidents Jean-Pierre Plancade (Haute-Garonne) et Robert Tropéano (Hérault).

Enfin, l'ancien ministre Jean-Pierre Chevènement (MRC, Territoire-de-Belfort) pourrait lui aussi les rejoindre, soit au total un potentiel de 17 sénateurs.

 M. Baylet veut prendre "une revanche" sur les socialistes en montrant qu'il peut créer un groupe PRG autonome.

Selon certaines sources, la présidence de ce groupe pourrait revenir, à défaut de M. Baylet, à Yves Collin. Le nom de Jean-Pierre Chevènement a lui aussi été avancé.

Fin
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23 septembre 2008 2 23 /09 /septembre /2008 18:17
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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 21:37
Sénatoriales: Baylet se félicite de la progression du PRG
21.09.08 | 21h03 Article du quotidien LE MONDE

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Le président du parti radical de gauche, Jean-Michel Baylet, sénateur du Tarne-et-Garonne, "se félicite" dans un communiqué de "la progression du PRG" aux sénatoriales de dimanche.

"Les valeurs radicales de tolérance et d'humanisme ont été entendues et bien comprises par les grands électeurs qui se sont prononcés également pour une opposition constructive à la Haute Assemblée", a-t-il ajouté.

Le PRG qui avait trois sortants dans ce scrutin aura au moins 6 élus à son issue. Les deux sortants de Corse, Nicolas Alfonsi (Corse-du-Sud) et François Vendasi (Haute-Corse) ont été réélus. Font leur entrée au Palais du Luxembourg, Anne-Marie Escoffier (Aveyron), Françoise Laborde (Haute-Garonne), Raymond Vall (Gers) et Jacques Mezard (Cantal). Le troisième sortant PRG, Gérard Delfau a été battu.

Le PRG qui va se retrouver avec dix sénateurs va tenter de constituer un groupe en ralliant notamment des personnalités comme l'ex-PS Michel Charasse ou Jean-Pierre Chevènement, qui a gagné malgré le maintien du candidat socialiste Yves Ackermann au deuxième tour.

"Les conditions me semblent particulièrement propices à voir renaître un groupe radical de gauche et apparentés au Sénat", a déclaré M. Baylet dans un deuxième communiqué diffusé dimanche soir.

Les sénateurs PRG sont actuellement regroupés avec les radicaux valoisiens au sein du RDSE dont l'existence est menacée. Les radicaux de droite ont perdu au moins trois sièges. Ce groupe était celui qui était le plus soumis à renouvellement avec huit sièges remis en jeu sur 17. Il faut 15 élus pour constituer un groupe au Sénat.

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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 01:52

 

PETITION DU PRG

 

 NON A LA PRIVATISATION DE LA POSTE !

 

Téléchargez la pétition au format .pdf

Signez la pétition en ligne


COMMUNIQUE:
N
icolas Sarkozy a annoncé aujourd’hui la mise en place d’une commission composée
notamment d'élus et de représentants syndicaux à propos du changement de
statut de La Poste (qui devra rendre un rapport pour le 30 novembre). Les
radicaux de gauche, qui sont à la pointe du combat pour la non privatisation
de ce service public, se mobilisent et réclament l’ouverture d’un grand
débat public.

Vous pouvez désormais signer la pétition : « Non à la privatisation de La
Poste » en ligne sur le site internet du parti à l’adresse suivante.

Vous pouvez également télécharger la version papier de ladite pétition pour
la faire signer autour de vous.

La Poste est en danger. La dégradation du service public se poursuit depuis plusieurs années, marquée par le manque de personnels dans les quartiers populaires des villes et la fermeture de bureaux ruraux, ainsi que la transformation du service financier de La Poste en banque postale avec la banalisation du livret A.

Le gouvernement a maintenant l’intention de privatiser La Poste en en faisant une société anonyme dont le capital sera introduit en bourse.

Cette réforme sonnerait le glas du service public postal, c’est-à-dire de l’un des services publics essentiels à l’exercice réel des droits des citoyens, en l’occurrence du droit à la communication. Nous devons l’empêcher, car nous voulons que ce droit fondamental puisse continuer à s’exercer avec des garanties qu’une gestion privée ne peut apporter.

De quoi s’agit-il concrètement ? De ne pas sacrifier davantage la présence des bureaux de poste dans les zones rurales et les quartiers populaires, partout où l’activité de La Poste ne peut dégager une rentabilité importante. D’améliorer les conditions de distribution du courrier et d’accueil des usagers, et non de les moduler en fonction de l’intérêt financier des zones couvertes. De garantir le prix unique du timbre, de pérenniser la distribution six jours sur sept, supérieure aux obligations européennes. De permettre aux foyers les plus modestes de trouver encore un partenaire bancaire au sein de La Poste, attentif à leur situation.

 

La privatisation de La Poste ne va pas améliorer la qualité du service rendu, mais au contraire la dégrader et rendre celui-ci beaucoup plus inégalitaire.

 

Nous nous opposons donc vigoureusement à cette privatisation. Nous demandons que le gouvernement ouvre un grand débat public sur les missions de La Poste et sur l’amélioration du service rendu en réponse aux besoins de la population, ainsi que sur les nouvelles formes de gestion qui permettront de démocratiser les services publics en impliquant davantage les représentants des usagers, des salariés et des élus.

Jeudi 18 septembre 2008PRG National relayé par le PRG 68
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17 septembre 2008 3 17 /09 /septembre /2008 03:06
Afghanistan et révision constitutionnelle..

Depuis le 21 juillet, la révision constitutionnelle implique l’autorisation du Parlement  quand une intervention extérieure de notre armée est supérieure à quatre mois.

Un débat organisé dans l’hémicycle le 22 septembre sera de fait, assorti d’un vote des députés ce qui est en conformité avec la nouvelle procédure législative.
Un moment historique que les députés veulent aborder en toute connaissance du dossier; c'est pourquoi, François Hollande pour le PS et Jean-Michel Baylet pour le PRG ont écrit au Président pour exiger une "clarification" de la stratégie française .

Dans la lettre adressée au président de la République et signée de Jean-Michel Baylet (PRG), François Hollande (PS) et par les présidents du groupe PS à l'Assemblée nationale et au sénat il est précisé

"le débat du 22 septembre n'est pas de savoir si la France doit se désengager de l'Afghanistan, elle ne le doit pas, mais de définir à quelles conditions la présence de nos soldats peut contribuer à une paix durable dans ce pays comme dans d'autres".

 

et sur le même thème:

Afghanistan: refus de création d'une mission d'information parlementaire

PARIS, 16 septembre 2008 (AFP) - La conférence des présidents de l'Assemblée nationale a refusé mardi la création d'une mission d'information parlementaire, demandée par l'opposition, sur l'engagement des forces françaises en Afghanistan, a-t-on appris à l'issue de la conférence.

"Une mission d'enquête ne s'impose pas à partir du moment où une mission d'évaluation a été confiée" par la commission de la Défense à Pierre Lellouche (UMP) et François Lamy (PS), a-t-il été précisé.

Jean-Marc Ayrault (PS), dont le groupe avait demandé cette mission depuis plusieurs mois, a regretté ce refus.

"On fait comme si on avait donné plus de pouvoirs au Parlement" avec la réforme des institutions, a déploré pour sa part Noël Mamère (GDR, Verts), dont le groupe s'était associé à la demande des socialistes.

"Si la mission qui a été demandée depuis plusieurs mois avait été mise en place, on n'en serait peut-être pas là aujourd'hui", a-t-il dit.

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 23:44
Université d'été du PRG: Baylet réaffirme l'ancrage à gauche de son parti.

RAMATUELLE (AFP) — Le président du Parti radical de gauche (PRG) Jean-Michel Baylet a réaffirmé dimanche à Ramatuelle (Var) l'ancrage à gauche de sa formation tout en insistant sur le nécessaire "rééquilibrage" de son alliance avec le parti socialiste.

"Je rassure ceux qui ne nous situeraient pas exactement ou qui feignent de na pas voir où nous sommes. Nous sommes à gauche", a déclaré M. Baylet, qui clôturait, devant plusieurs centaines de militants, l'université d'été du PRG.

Revenant sur le vote du PRG en faveur de la réforme de la Constitution, lors du Congrès du parlement le 21 juillet, M. Baylet a écarté les allégations "stupides", selon lesquelles ce vote aurait fait l'objet de tractations.

Communiqué de presse du PRG suite à l'université d'été.

VIDEO de l'intervention du président du PRG:

TV5.org-Vidéo, intervention de Jean-Michel Baylet
http://www.tv5.org/TV5Site/info/image-0.htm?idrub=8&mode_doc=&xml=newsmlmmd.8a838168efef80e79551829cee671338.4c1.xml
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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 17:54
Communiqué de Jean-Michel  BAYLET
pour le PRG

(date: 10 septembre 2008 - Paris)
 

Communiqué de  Jean-Michel Baylet le 9 septembre 2008

"Les radicaux de gauche historiquement attachés aux principes de la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen et au respect des libertés fondamentales sont inquiets de la mise en place du fichier Edvige qui ouvre la porte au fichage systématique de la population.

Les inscriptions abusives dans de nombreux fichiers déjà existants et les
conséquences fâcheuses qu'elles peuvent avoir pour nos concitoyen justifient les inquiétudes qui s'expriment autour du fichier Edvige; surtout que celles et ceux qui y seront inscrits n'en seront pas avertis se trouvant de fait privés de leur droit d'accès et de rectification par manque d'information. "
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 23:17
AFP/université d' été PRG à Ramatuelle

 

RAMATUELLE, 7 septembre 2008 (AFP) - Le président du Parti radical de
gauche (PRG) Jean-Michel Baylet a réaffirmé dimanche à Ramatuelle (Var)
l'ancrage à gauche de sa formation tout en insistant sur le nécessaire
"rééquilibrage" de son alliance avec le parti socialiste.

"Je rassure ceux qui ne nous situeraient pas exactement ou qui feignent de
na pas voir où nous sommes. Nous sommes à gauche", a déclaré M. Baylet,
qui clôturait, devant plusieurs centaines de militants, l'université d'été
du PRG.

Revenant sur le vote du PRG en faveur de la réforme de la Constitution,
lors du Congrès du parlement le 21 juillet, M. Baylet a écarté les
allégations "stupides", selon lesquelles ce vote aurait fait l'objet de
tractations.

"Nous n'avons rien échangé ni marchandé. Nous avons fait ce que l'intérêt
supérieur du pays et notre conscience nous commandaient. Et nous l'avons
bien fait".

M. Baylet a par ailleurs indiqué qu'il avait confirmé à François Hollande,
premier secrétaire du PS, la volonté du PRG "de faire aventure commune"
avec les socialistes aux élections européennes de 2009 mais dans le cadre
d'une "alliance rééquilibrée".

"J'ai indiqué à M. Hollande que nous n'étions pas tentés par une
quelconque dérive droitière (...) mais que notre proximité ancienne et nos
combats passés n'étaient pas une obligation pour l'avenir si les
socialistes ne se décidaient pas à rééquilibrer un partenariat que nous ne
regardons pas, pour notre part, comme une fatalité", a dit M. Baylet.

Par ailleurs, dans des déclarations à l'AFP, M. Baylet a souligné que les
discussions avec le Parti radical de Jean-Louis Borloo n'étaient pas du
tout en panne et que les groupes de travail, en vue du rapprochement entre
les deux formations, continuent à fonctionner.

Contrairement à l'année dernière, où le socialiste Arnaud Montebourg avait
été accueilli à Ramatuelle, il n'y a pas eu cette année d'invité extérieur
à l'université d'été du PRG.

Dans son discours, M. Baylet a demandé aux dirigeants du PRG de réfléchir
à une "formule rénovée" pour l'université d'été, plus moderne et plus
adaptée à l'attente des citoyens.

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5 septembre 2008 5 05 /09 /septembre /2008 01:32
L'Université d'été du PRG, à Ramatuelle.

PRG. A Ramatuelle, il débat sur son identité et sa stratégie.

Près de 400 militants sont attendus ce week-end à Ramatuelle (Var) pour la traditionnelle université d'été des radicaux de gauche dans une ambiance décontractée et festive, loin des enjeux de pouvoirs qui caractérisent le PS et l'UMP. Hier s'est tenue la réunion du comité directeur. Mais c'est aujourd'hui que commencera une série de débats et de tables rondes consacrés à l'Europe, à « l'identité radicale aujourd'hui » et à la stratégie.

Mais à Ramatuelle, il sera aussi question de stratégie et de la place du PRG au sein d'une gauche qui va mal à l'image du PS. Certes, le comité de liaison de la gauche a été réactivé cette semaine, sa prochaine réunion devant se tenir en octobre au siège du PRG. Mais l'opposition peine à se faire entendre et a du mal à se coordonner face à la droite alors qu'approchent de nouvelles échéances électorales (sénatoriales à la fin du mois, et européennes en 2009).

Dans son discours de clôture demain, Jean-Michel Baylet devrait réaffirmer le cap du PRG ancré à gauche mais sans sectarisme. « Il n'est pas question de s'opposer pour s'opposer ; il faut être aussi positif », déclarait-il à l'issue du comité de liaison de la gauche mercredi. Mais les radicaux s'affichent à la pointe du combat aux côtés de leurs alliés lorsqu'il s'agit de défendre les services publics comme la poste menacée de privatisation.

Bref, face à une actualité politique dense en cette rentrée, ce ne sont pas les sujets de débats qui manquent au sein du PRG. Dans un paysage politique éclaté et à côté d'un PS affaibli, les radicaux de gauche estiment qu'ils ont plus que jamais un rôle à jouer. C'est le message que devrait aussi délivrer Jean-Michel Baylet à Ramatuelle.Jean-Pierre Bédéï Image jpg "Village de Ramatuelle"

Paru dans le quotidien "La Dépêche du Midi". lire tout l'article:Ramatuelle. Les radicaux à gauche en université d'été

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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 01:30
DEPECHE AFP
PARIS, 28 août 2008 (AFP) - Le président du PRG, Jean-Michel Baylet, a
estimé jeudi que la décision "d'augmenter l'imposition des revenus du
capital pour financer le RSA va dans le bon sens" mais "ne permet pas aux
départements de maîtriser" son financement.

"La décision du président de la République d'augmenter l'imposition des
revenus du capital pour financer le RSA va dans le bon sens, mais elle ne
permet pas aux départements de maîtriser le financement de ce nouveau
dispositif", a déclaré M. Baylet dans un communiqué.

"Les parlementaires et les conseils généraux devront donc s'assurer que
cette mesure suffira à la mise oeuvre du RSA tant qualitativement que
quantitativement, tel qu'il a été imaginé par Martin Hirsch", le Haut
commissaire aux solidarités actives, a estimé le président du Parti
radical de gauche.
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