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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 18:16
Elections européennes de Juin 2009
Les fédérations régionales du Parti Radical de Gauche se réuniront en Comité Directeur National extraordinaire le Mercredi 8 avril 2009 afin de débattre de la statégie électorale relative au scrutin européen et de finaliser la composition des listes dans les régions qui auront décidé de faire acte de candidature.

Ce comité se tiendra à la Maison de l’Amérique Latine, Boulevard Saint Germain à Paris dans le 7ème arrondissement.

Lire l'article Elections Européennes:Le PRG tenté dans le Grand-Est

Article paru dans le Journal LA CROIX:
La Croix le 31 Mars 2009

A gauche, les petits partis désertent les élections européennes
Le PRG s’est résolu à ne pas être présent partout
et le MRC de Chevènement ne se présente nulle part
A l’extrême gauche, c’est le trop-plein.
Pour les prochaines européennes, les listes du Front de gauche,
constituées par le PCF et le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon,
devront en effet affronter la concurrence du NPA d’Olivier
Besancenot et de Lutte ouvrière.
La droite fait le plein, avec les amis de Philippe de Villiers comme ceux
de Nicolas Dupont-Aignan déjà partis en campagne pour rappeler leur
existence et cultiver leur autonomie.
Que se passe-t-il, en revanche, à gauche, chez les « petits » partis ? Le
Parti radical de gauche a, en effet, décidé de ne pas présenter de listes
partout en France et pourrait n’être présent qu’en Île-de-France.
Le MRC de Jean-Pierre Chevènement a lui décidé de bouder totalement le
scrutin.
Tout comme le petit mouvement des Alternatifs, dont les militants
consultés par vote interne ont préféré ne pas se lancer dans la bataille.

Si on n’est pas implanté partout, alors cela devient impossible
d’obtenir des scores honorables. »
Au-delà de leur positionnement très différent, le point commun de ces
trois formations est d’avoir exploré la possibilité d’accord avec d’autres
partis plus puissants. En vain. Le MRC n’est pas parvenu à s’entendre sur
le fond avec le Front de gauche, butant sur la place de la nation ou la
politique de l’immigration. Le PRG, lui, n’a pas obtenu les deux places
éligibles qu’il réclamait au PS. Les Alternatifs, eux, ont hésité à se
lier au Front de gauche ou au NPA. Faute d’accords, tous ont préféré jeter
l’éponge plutôt que de risquer un score ridiculement bas.
Le mode de scrutin, il est vrai, n’est pas franchement clément pour les
petites formations avec ses huit grandes régions disparates. « Cela
favorises outrageusement les grands partis car si on n’est pas implanté
partout, comme c’est notre cas, alors cela devient impossible d’obtenir
des scores honorables », s’offusque Élisabeth Boyer, vice-présidente du
PRG.
En 2004, les trois listes présentées par le PRG avaient ainsi plafonné à
1,5 %. Loin du seuil de 3 % nécessaire pour obtenir le remboursement par
l’État des frais de campagne.« Partir seul aux européennes, aurait été
financièrement coûteux et politiquement hasardeux », reconnaît ainsi
George Sarre, chargé des relations extérieures au MRC. Alors, même si la
question européenne a été à l’origine de la rupture avec le PS et de la
création de leur parti, les chevènementistes ne veulent pas tenter le
diable. « Tout nous pousse à participer à la
campagne… sauf les contingences »,
soupire l’ancien ministre. Pris entre le désir d’exister et la crainte
d’un score trop décevant,les deux petits partis de l’ex-gauche plurielle
se sont donc résolus, comme à la présidentielle de 2002, à ne pas
partir sous leur propre bannière. Au risque de voir leur influence
politique se réduire encore un peu plus. « En temps de crise, cette
élection n’est pas au coeur des préoccupations des Français», tente de se
rassurer Élisabeth Boyer. « Même si nous ne présentons pas de candidats,
nos idées restent plus que jamais d’actualité », renchérit crânement
George Sarre.
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